L'IDPC fournit des informations de base sur le classement de la feuille de coca dans les traités internationaux de contrôle des drogues, décrit le processus de révision par l'ECDD et plaide pour son retrait.
Pionnière de la réduction des risques, la Suisse a joué un rôle clé dans la promotion d'un changement de cap des politiques axées sur la répression au niveau international.
La Commission a adopté une résolution historique reconnaissant pour la première fois le terme « réduction des risques », marquant ainsi un tournant vers des approches plus respectueuses des droits humains.
Cette séance de compte rendu de la 67e session de la Commission des stupéfiants des Nations unies (CND) a permis d'examiner les progrès, les blocages et les perspectives d'avenir du régime de contrôle des drogues des Nations unies.
L'OICS analyse la situation mondiale en matière de drogues par rapport aux politiques de contrôle des drogues, notant des réformes croissantes vers des marchés légalement réglementés à des fins non médicales.
Ann Fordham, la directrice de l'IDPC, a appelé à un processus de transformation institutionnelle pour contribuer à un nouveau paradigme en matière de politiques des drogues.
Un nouveau rapport met en lumière la complaisance des gouvernements à perpétuer la "guerre à la drogue" malgré les conséquences dévastatrices pour des millions de personnes, et appelle au changement.
L'IDPC s'appuie sur un large éventail de données provenant des Nations unies, de sources gouvernementales, universitaires et de la société civile pour conclure que les progrès accomplis dans la réalisation des objectifs fixés dans la Déclaration ministérielle de 2019 sur les drogues sont faibles, incomplets ou inexistants.
L'OMS s'est engagée à faire en sorte que l'examen ne soit pas retardé et le Vice-président bolivien a souligné l'importance d'un processus intégral, incluant les usages traditionnelles.