Les centres de réhabilitation obligatoires pour les personnes qui font usage de drogues constituent une grave violation des droits humains et doivent être remplacés par un traitement volontaire, basé sur la communauté, qui fournit des services fondés sur des données scientifiques et sur les droits humains.
Environ 26 millions de personnes dans le monde qui souffrent de douleurs aiguës n'ont pas accès aux antidouleurs ; il faut donc réduire le « fossé de la douleur » entre les pays riches et les pays pauvres.
La société civile attend du Conseil qu'il prenne l'initiative d'encourager et d'accueillir les initiatives du système des droits humains des Nations unies afin de veiller à ce que les politiques en matière de drogues respectent les droits humains au lieu de les affaiblir.
Malgré un marché du CBD florissant et le projet de légalisation de l'accès médical, le gouvernement a promis de criminaliser davantage l'usage non médicale.
Malgré le traitement désobligeant et stigmatisant que leur réservent les médias, les défis posés par la consommation de crack sont le reflet de politiques négligentes qui aggravent les vulnérabilités extrêmes et exigent des solutions fondées sur la santé et les droits.
Figure incontournable de la réduction des risques en France, Béatrice Stambul s'est toujours battue pour placer les personnes usagères des drogues au centre de ces dispositifs, en tant que protagonistes de leur propre santé.
Malgré un nombre croissant d'études suggérant leur potentiel thérapeutique, les psychédéliques restent entourés de controverses après des décennies de prohibition.