Katherine Pettus explique comment la Commission des Stupéfiants est en train de changer sa vision sur l’accès aux médicaments essentiels pour des soins palliatifs.
Les fermiers colombiens sont l’un des groupes les plus négligés et les plus affectés par les conflits incessants en matière de drogues en Amérique du Sud.
Les experts ont examiné les progrès réalisés et ont défini les priorités communes sur les actions à entreprendre à l’échelle nationale et ont reconnu le rôle clé des contrôles et des programmes d’évaluation.
Alors que l’Uruguay sa prépare à mettre en place sa loi de légalisation du cannabis, les responsables de santé envisagent l’usage éventuel de marijuana pour des raisons médicales – en particulier en prison, où de nombreux prisonniers sont dépendants.
Cette publication commune indique la voie à suivre vers une politique des drogues cohérente en Suisse, tout en poursuivant le développement de la politique des quatre piliers ancrée dans la Loi sur les stupéfiants.
Ces directives encadrent l’application au Québec du nouveau règlement fédéral qui exige une ordonnance pour avoir accès au cannabis séché à des fins médicales.
Le gouvernement néozélandais affirme que son approche pour contrôler les nouvelles substances psychoactives a réduit le nombre de drogues disponibles, le nombre de vendeurs et les risques de santé.
L’audience de la Commission Interaméricaine sur les Droits Humains ouvre la voie sur une réelle analyse de l’impact des politiques des drogues sur les droits humaines à travers un dialogue entre les gouvernements et la société civile.
L’Organisation des Etats Américains a organisé une table ronde à Washington DC, où a été présenté le rapport de la Commission Interaméricaine des Femmes intitulé « Les femmes et la drogue sur le continent américain: un document de travail politique ».