Lors de la 67e session de la Commission des stupéfiants des Nations unies, des progrès ont été réalisés dans le sens de politiques fondées sur la réduction des risques ; les pays peuvent-ils traduire ces progrès en actions concrètes ?
L'évolution des attitudes et des cadres réglementaires concernant le cannabis et la psilocybine aux États-Unis pourrait ouvrir la voie à des approches novatrices en matière de gestion de la douleur.
Après des décennies de progrès inégaux en matière de politique des drogues dans le pays, une nouvelle coalition se mobilise pour faire pression sur les dirigeants nationaux en faveur d'une réforme de la législation sur les drogues fondée sur les droits.
Mettre un terme à la criminalisation de la simple possession de drogues ne résoudra pas la catastrophe des décès liés aux drogues, résultat de la prohibition et de l'oppression systémique, mais c'est un pas essentiel dans la bonne direction.
Les critiques ont faussement accusé la décriminalisation des décès par overdose et du sans-abrisme, mais la recriminalisation renforcera davantage les inégalités sociales et sanitaires.
Le GREA soutien l'élaboration d'un modèle de régulation du cannabis basé sur des consultations précédentes avec une large base d'experts et met en garde contre les excès d'un modèle commercial, tel que celui proposé par une initiative populaire.
L'ancienne Première ministre de Nouvelle-Zélande, Helen Clark, appelle à des investissements dans la réduction des risques et la réforme des lois sur les drogues pour prévenir les dommages croissants liés aux nitazènes.
Face à une situation humanitaire catastrophique, les organisations de santé expriment une vive préoccupation pour les actions israéliennes en Palestine, et leur anéantissement des soins de santé.