Après des décennies de progrès inégaux en matière de politique des drogues dans le pays, une nouvelle coalition se mobilise pour faire pression sur les dirigeants nationaux en faveur d'une réforme de la législation sur les drogues fondée sur les droits.
Mettre un terme à la criminalisation de la simple possession de drogues ne résoudra pas la catastrophe des décès liés aux drogues, résultat de la prohibition et de l'oppression systémique, mais c'est un pas essentiel dans la bonne direction.
Les critiques ont faussement accusé la décriminalisation des décès par overdose et du sans-abrisme, mais la recriminalisation renforcera davantage les inégalités sociales et sanitaires.
Le GREA soutien l'élaboration d'un modèle de régulation du cannabis basé sur des consultations précédentes avec une large base d'experts et met en garde contre les excès d'un modèle commercial, tel que celui proposé par une initiative populaire.
L'ancienne Première ministre de Nouvelle-Zélande, Helen Clark, appelle à des investissements dans la réduction des risques et la réforme des lois sur les drogues pour prévenir les dommages croissants liés aux nitazènes.
Face à une situation humanitaire catastrophique, les organisations de santé expriment une vive préoccupation pour les actions israéliennes en Palestine, et leur anéantissement des soins de santé.
La Rapporteuse spéciale sur le droit à la santé lance un appel à contributions pour un rapport sur les impacts de la réduction des risques sur l'équité en matière de santé.
Pionnière de la réduction des risques, la Suisse a joué un rôle clé dans la promotion d'un changement de cap des politiques axées sur la répression au niveau international.
La Commission a adopté une résolution historique reconnaissant pour la première fois le terme « réduction des risques », marquant ainsi un tournant vers des approches plus respectueuses des droits humains.