Ce rapport évalue les conséquences de la baisse soudaine de financement du Fond Mondial qui l’a forcé à mettre un terme à de nouveaux financements de projets et à imposer des coupes budgétaires.
Ce rapport présente les difficultés en matière de sécurité mondiale que posent les groupes armés. Le rapport identifie les problèmes associés au phénomène et souligne la nécessité pour le gouvernement américain de reconnaitre les défis auxquels il fait face.
L’administration Obama a le mérite d’avoir au moins reconnu les excès et le gaspillage de la lutte antidrogue actuelle et d’avoir pris des mesures afin d’accroître l’accès au traitement. Cependant, il semble prématuré d’envisager une révolution en termes de politique des drogues américaine.
Ce rapport décrit le trafic illicite d’opiacés le long de la route du nord de l’Afghanistan à l’Asie centrale jusqu’aux frontières de la Fédération de Russie.
Le rapport offre plusieurs recommandations, la plus importante étant l’appel lancé au Fond Mondial afin qu’il soutienne de manière continue les programmes de réduction des risques dans le but d’atteindre l’objectif selon lequel la transmission du virus sera réduite de 50% parmi les usagers injecteurs de drogues d’ici 2015.
Les articles de ce volume analysent le traitement forcé, la Convention des droits de l’enfant, la position de l’OICS sur l’ayahuasca, et la peine de mort en Chine pour les délits liés aux drogues.
A différents moments de l’histoire, la production, la consommation et l’approvisionnement en drogues ont été présentés comme des menaces à la sécurité, quelle soit humaine, nationale ou internationale.
L’enquête conclut que le cadre répressif carcéral ne paraît pas dissuasif par rapport à la consommation de drogue, et que la répression apparaît aussi inefficace à l’extérieur qu’à l’intérieur de la détention. Elle propose la mise en place d'une politique sanitaire sur l'usage de drogue en milieu carcéral.
Depuis 2008, les usagers de drogue au Maroc constituent une des cibles des programmes de lutte contre le sida. L’ALCS, association de lutte contre le sida au Maroc a mené une enquête visant à documenter les violations des droits humains des usagers de drogue.