L'IDPC discute des mesures alternatives à l'incarcération mises en œuvre en Thaïlande du point de vue des praticiens et des personnes impliquées dans le système juridique pénal.
La Rapporteuse spéciale de l'ONU sur le droit à la santé met en avant les pratiques de réduction des risques à l'échelle mondiale, appelant les États à abandonner les approches punitives pour protéger les droits des populations marginalisées pour une paix et un développement durables.
Hedden-Claytone et al. explorent l'impact d'un programme éducatif de réduction des risques destiné aux fournisseurs de drogues pour atténuer les risques.
Nelson et Nnam analysent l'impact de l'environnement socio-légal sur l’usage de cannabis chez les jeunes femmes et appellent à des interventions structurelles pour promouvoir une utilisation plus sûre.
Cet outil aide les prestataires de services à comprendre les besoins des personnes trans, non conformes au genre et non binaires dans les programmes de services de seringues.
L'IDPC et le LANPUD se concentrent sur les indicateurs clés de santé, l'impact de la criminalisation et de la stigmatisation, ainsi que sur la disponibilité des services de réduction des risques au Honduras.
L'IDPC reflète les efforts collectifs du réseau en faveur d'un monde où les réponses à la consommation, à la culture, à la production et à l'offre de drogues sont façonnées par le bien-être, la solidarité, l'évidence et la compassion.
L'IDPC souligne les tensions croissantes lors de la dernière session de la CND, où les divisions géopolitiques et les défis au paradigme punitif du contrôle des drogues ont été proéminents et potentialisés par la société civile.
L'ONUSIDA souligne l'importance de l'investissement, de la réforme des politiques et de la lutte contre les inégalités pour mettre fin au sida en tant que menace publique d'ici 2030.
Le rapporteur spécial des Nations unies sur l'extrême pauvreté demande que l'on s'éloigne des mesures punitives et que l'on reconnaisse la réduction des risques comme un cadre permettant de remédier aux vulnérabilités spécifiques des personnes usagères des drogues.
Stoicescu et al. concluent que l'intersection de la violence du partenaire intime et de la violence sexuelle de la police est associée à une augmentation de près de quatre fois des overdoses non fatales.