Ces interventions seraient particulièrement bénéfiques pour une population très précarisée qui fréquent des scènes de consommation à ciel ouvert au centre-ville.
Les projets pilotes bénéficieraient à un petit nombre de résidents et s'inspireraient des essais en cours au niveau fédéral en matière d'approvisionnement en cannabis.
Le projet de la République tchèque de régulation légale du cannabis sera probablement contesté par d'autres États membres de l'UE qui s'y opposent, malgré les dommages et les coûts engendrés par la prohibition dans toute l'Europe.
Le premier local d'injection sécurisée de l'État de Victoria obtient un statut permanent, marquant une étape importante dans les efforts de réduction des risques et suscitant l'espoir d'une approche plus compatissante et fondée sur des données scientifiques à l'égard des personnes qui s'injectent des drogues dans toute l'Australie.
La première salle d'injection sécurisée de l'État de Victoria obtient un statut permanent, marquant une étape importante dans les efforts de réduction des risques et suscitant l'espoir d'une approche plus compatissante et fondée sur des données probantes à l'égard des personnes qui utilisent des drogues par injection en Australie.
Dans un premier temps, la culture domestique de quatre plantes au maximum serait totalement décriminalisée (voire légalisée), mais la possession en public et l'usage en public attireraient des sanctions.
L'escalade de la crise souligne la nécessité d'interventions de réduction des risques pour atténuer la propagation de l'infection et protéger les personnes poussées à la vulnérabilité.
Les experts se sont félicités de l'abolition de la peine de mort obligatoire et de la volonté du gouvernement d'envisager la décriminalisation, tout en soulignant que la criminalisation ne devrait pas être remplacée par un traitement obligatoire.
Chaque année, plus de 3 000 personnes sont condamnées pour des infractions mineures liées aux drogues, ce qui porte préjudice aux communautés et détourne les finances publiques vers la répression.
Le gouvernement affirme qu'il s'est retiré du Statut de Rome avant le début de la procédure, mais le procureur de la CPI s'oppose à cette interprétation car un examen préliminaire était déjà en cours.
Les organisations actives dans le domaine de la réduction des risques mettent en garde contre le fait que la loi porte atteinte aux droits et à la dignité et qu'elle retardera la lutte contre le VIH dans le pays.