La brutale « guerre à la drogue » menée aux Philippines n'a pas empêché les partisans de la réduction des risques de mettre en œuvre des mesures salvatrices telles que l'échange de seringues et le traitement à la méthadone.
Le VNGOC souhaite entendre ses membres et les autres organisations de la société civile intéressées sur la manière dont ils envisagent une participation significative de la société civile avec les agences basées à Vienne impliquées dans la définition des politiques en matière de drogues.
Lors de la CND de cette année, les récentes réformes des politiques des drogues au Ghana ont créé un précédent important sur la façon dont les approches des politiques des drogues axées sur les priorités en matière de santé et de droits humains peuvent l'emporter sur l'approche désastreuse de la « guerre à la drogue ».
En l'absence d'un cadre juridique clair pour réguler l'offre, la Thaïlande a été témoin d'un déluge de marijuana importée clandestinement de l'étranger, ce qui a fait chuter les prix de gros et porté préjudice aux cultivateurs.
Le Japon est le seul pays du G7 à maintenir une approche répressive envers l'usage de drogues, perpétuant les dommages, la stigmatisation et la souffrance, tout en proclamant son adhésion à un « ordre international fondé sur des règles » qui condamne les violations des droits humains.
Le nouveau cadre législatif très répressif de Singapour, conçu pour lutter contre les nouvelles substances psychoactives, prévoit que la peine d'emprisonnement maximale pour possession de drogues passe à 30 ans, soit trois fois plus que la peine maximale précédente.
L'impact de la « guerre à la drogue » sur l'environnement, les droits des peuples indigènes et les droits humains permettent aux partisans de la réforme des politiques des drogues d'approfondir la solidarité avec les personnes qui résistent sur le terrain.
Dans le but de réduire le marché informel et de rendre l'usage de cannabis aussi sûr que possible, l'Allemagne s'apprête à devenir le premier pays européen à légaliser intégralement le cannabis destiné à l'usage des adultes.
Afin de réduire la criminalité et de rendre la consommation de cannabis aussi sûre que possible, l'Allemagne s'apprête à devenir le premier pays européen à légaliser le cannabis à usage récréatif.
La représentation biaisée de l'OICS sur les impacts de la régulation du cannabis et son manque d'engagement sur des idées constructives pour surmonter ses tensions juridiques avec le droit international ne font rien pour répondre à la tendance mondiale croissante vers des marchés de drogues légalement régulés.