Alors que les communautés noires et asiatiques ont des taux moins élevés de consommation de drogues que la minorité blanche, les forces de l’ordre ciblent injustement ces communautés.
Un nombre de plus en plus important d’ONG et d’experts gouvernementaux slovaques reconnaissent désormais la validité des preuves disponibles à l’étranger sur l’impact positif de politiques des drogues non-punitives.
Résidents et visiteurs âgés de plus de 21 ans pourront désormais posséder un maximum de 56 grammes de cannabis et cultiver quelques plantes à la maison. Acheter, vendre ou fumer en public reste illégal.
En 2009, le gouvernement a publiquement déclaré que les consommateurs de drogues nécessitaient des options de traitement basées sur des preuves avérées. Le Ministère de la Santé tanzanien a alors approuvé un plan complet visant à prévenir et à traiter la dépendance à l’héroïne.
Cette campagne de HRI appelle les gouvernements à rediriger 10% des ressources actuellement dépensées dans le cadre de la guerre contre la drogue vers la réduction des risques.
Des millions de dollars sont versées pour soutenir les politiques anti-drogue iraniennes qui peuvent être directement liées aux arrestations et aux exécutions de milliers de personnes, y compris des enfants.
Le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) a critiqué la politique actuelle de contrôle international des drogues qui touche les pauvres de manière disproportionnée à travers le monde.
Vivant au Brésil, Ilona Szabo de Carvalho a réalisé qu’elle ne pouvait rester sans rien faire alors que son pays était déchiré par le conflit lié aux drogues et aux armes à feu.
Suite à la fin des financements du Fonds Mondial, trois organisations ont continué de mettre en œuvre des programmes de proximité et d’échange de seringues, mais le gouvernement serbe refuse de prendre en charge le financement de ces programmes.