HRI, IDPC et CDPE ont mis en lumière les impacts des politiques punitives en matière de drogues sur les communautés racisées, notamment en ce qui concerne la police et la criminalisation, ainsi que l'accès limité aux services de santé, de réduction des risques, de traitement et aux services sociaux.
Les organisations de la société civile, les organismes professionnels et une foule de personnes expertes demandent au gouvernement britannique de veiller à la mise en place de centres de prévention des overdoses.
L'intervention de la police est l'élément qui dissuade le plus les gens de demander de l'aide médicale. Les activistes et les groupes de défense des droits appellent à une réduction des risques et à des interventions moins aggressives.
Les discours stigmatisants et les pratiques répressives en relation au crack et aux personnes qui en utilisent ne servent en rien à répondre aux besoins vitaux des personnes usagères et des des autres voisins des scènes ouvertes.
L'association Ithaque décrit leur engagement pour la santé des personnes usagères des drogues et des meilleures politiques des drogues les concernant, y compris à travers cette campagne mondiale.
Alors que la Thaïlande devient le premier pays d'Asie à adopter la décriminalisation du cannabis, les défenseurs des droits humains se mobilisent pour faire en sorte que le projet de loi à venir visant à réglementer le marché promeuve l'équité.
Permettre aux personnes d'accéder à leurs médicaments de TSO par le biais d'une pharmacie locale réduirait les logiques arbitraires et punitives qui imprègnent le système actuel.
Les politiques antidrogue servent de couverture à la violence policière généralisée, responsable de 6 100 meurtres l'année dernière, principalement de jeunes Brésiliens noirs et pauvres.
Un manque de volonté politique et une stigmatisation généralisée limitent l'adoption et l'expansion de ces interventions de réduction des risques qui sauvent des vies.