La prohibition gonfle les profits au bénéfice de réseaux informels qui utilisent leur pouvoir pour contrôler les terres, les richesses et les fonctionnaires, avec des conséquences désastreuses sur l'environnement et les communautés indigènes.
Malgré le soutien gouvernemental, académique, médical et communautaire dont bénéficient ces interventions, la vérification des drogues se heurte à des obstacles au niveau des compagnies d'assurance.
Malgré des engagements clairs en faveur d'une intensification des interventions de réduction des risques, le document réitère l'application contre-productive des lois.
Le gouvernement a envisagé d'élaborer une législation sur le cannabis destiné à un usage médicinal, en s'appuyant sur les efforts des activistes pour réduire la stigmatisation et autoriser les usages industriels, médicinaux et récréatifs.
La Rapporteure spéciale del'ONU sur la santé recherche des contributions pour un rapport sur l'impact du racisme en tant que facteur d'inégalité en matière de santé. La date limite de réponse est fixée au 2 juin 2022.
Ce nouveau documentaire explore l'histoire du crack à Paris, et amplifie les voix des experts et des résidents qui appellent à une meilleure solution : des salles de consommation de crack à moindre risque.
Les accusations et les arrestations pour possession de drogues ont diminué après la légalisation du cannabis, mais les communautés racialisées restent ciblées de manière disproportionnée par le système juridique pénal.
Malgré la baisse des taux de condamnation, le pouvoir discrétionnaire de la police touche de manière disproportionnée les personnes qui sont Māori, qui ont déjà été condamnées ou qui vivent avec une dépendance aux drogues.
L'absence d'obligation de rendre des comptes et l'accès insuffisant à la justice continuent de favoriser les exécutions illégales et les exécutions par des groupes d'autodéfense, ainsi que d'autres violations des droits humains.