La décision de réduire au silence un mandat des Nations unies en matière de droits humains à l'occasion de la Journée internationale des droits humains envoie le message inquiétant que l'expertise en matière de droits humains n'est pas la bienvenue à Vienne.
Les progrès de la biotechnologie peuvent être utiles, mais la priorité doit être donnée à la garantie de l'accès à des interventions éprouvées, y compris la réduction des risques.
La censure et les dissimulations torpillent l'obligation du gouvernement de rendre compte des exécutions extrajudiciaires perpétrées au nom de la « guerre à la drogue ».
La diabolisation des drogues et la criminalisation des personnes qui en utilisent empêchent d'apporter des réponses constructives aux défis liés aux drogues.
L'INHSU 2021 a mis en lumière le besoin urgent et les défis complexes associés au développement de cette composante essentielle d'une politique des drogues axée sur la santé.