La Commission des affaires transversales du Sénat souligne les lacunes en termes de réglementation ainsi que les coûts économiques et sociaux de la politique actuelle, proposant une approche moins stigmatisante et punitive envers les personnes usagères des drogues
EuroNPUD explore les tests de dépistage proposés par la communauté et leur intégration dans les services de santé, évaluant les meilleures pratiques et attitudes concernant ces services.
L'IDPC et d'autres organisations appellent à reconnaître les effets nocifs de la criminalisation de l'usage de drogues et du travail sexuel en relation à l’action policière dans les espaces publics.
Youth RISE, SSDP International et Young Wave présentent un cadre de durabilité pour développer les compétences, les connaissances, les réseaux et les stratégies des jeunes dans les organisations qui travaillent sur les politiques des drogues.
Plus de 30 organisations européennes reconnaissent l'échec des politiques en matière de drogues et demandent une nouvelle approche axée sur la santé, les droits et la participation.
IDPC, HON, IDUCARE et SPINN décrivent les obstacles rencontrés dans la réalisation des droits humains, présentent des bonnes pratiques soins et de soutien et proposent des réformes.
Le C-EHRN plaide pour des réponses coordonnées, contextualisées et bien financées, y compris des stratégies de réduction des risques, afin d'atteindre l'objectif d'élimination de 2030.
Le WHRIN a coordonné des actions avec des partenaires dans 18 pays pour sensibiliser et plaider contre les impacts genrés des politiques punitives en matière de drogues.
L'EHRA rassemble les idées et les recommandations d'un projet régional visant à donner du pouvoir aux personnes usagères par le biais d'un suivi communautaire de l'OAT.
L'IDPC, Viso Mutop et l'OGDP examinent la discussion du rapport sur les marchés florissants de la drogue et la position de l'ONUDC sur des questions clés telles que la décriminalisation, les droits de l'homme et l'impact environnemental, notant l'influence croissante de la « criminologie verte » et son potentiel pour redéfinir les perspectives.