L’établissement Thistle à Glasgow a soutenu 180 personnes durant ses 12 premières semaines, en offrant des services vitaux de réduction des risques et de prévention des overdoses.
Contre l’avis de la société civile, la Hongrie modifiera sa constitution pour criminaliser l’usage de drogues, poursuivant son historique de réformes sociales répressives.
L’IDPC appelle les gouvernements à mettre fin aux violations des droits humains liées aux drogues, à investir dans la réduction des risques et à aligner les politiques en matière de drogues avec les droits humains et la réponse au VIH.
Les réseaux d’approvisionnement criminalisés sont néfastes, mais les désigner comme groupes terroristes est une réponse inadaptée qui nuira de manière disproportionnée aux personnes marginalisées.
Des années de plaidoyer, notamment par l’IDPC avec le soutien du Robert Carr Fund, ont conduit à la première résolution de la CND reconnaissant la « réduction des risques » en 2024.
Le gel des fonds américains entraîne la fermeture de programmes de réduction des risques en Afrique du Sud, privant des milliers de personnes de services essentiels.
En supprimant les barrières et en rendant les services plus accessibles, les programmes de réduction des risques ont amélioré la santé et le bien-être de la communauté.
Bien que le Territoire de la capitale australienne (ACT) ait dépénalisé la culture du cannabis, les restrictions exposent encore de nombreuses personnes à des risques légaux.
Plutôt que d’investir dans des mesures coûteuses et inefficaces, le gouvernement devrait privilégier des stratégies de réduction des risques, comme l’analyse des substances.
Les centres de détention forcée pour les personnes usagères des drogues militarisent le "traitement", ignorant la nécessité d’une approche de santé publique et de la décriminalisation.