L'augmentation du nombre de décès et l'inaction du gouvernement ont incité des militants à créer des clubs de compassion qui distribuent des drogues gratuites et vérifiées aux personnes qui en utilisent.
Des représentants du gouvernement affirment que la prohibition n'a pas réussi à stopper l'expansion du marché informel, à prévenir les dommages, à assurer la sécurité et à protéger la santé.
S'il ne s'attaque pas sérieusement aux violations des droits humains et n’encourage pas les réparations, le programme commun des Nations unies aux Philippines risque d'institutionnaliser ces abus.
Cette réforme, qui entrera en vigueur dans 12 mois, remplacera les poursuites pénales par une amende à laquelle il sera possible de se soustraire en participant à un programme d’orientation.
Le projet de loi donnerait aux autorités des pouvoirs étendus pour détenir arbitrairement et torturer les personnes qui font usage de drogues et pratiquement tout le monde.
Le gouvernement colombien devra faire preuve de prudence, mais il dispose d'une grande marge de manœuvre pour effectuer des changements sans susciter de réaction de la part de Washington.
Le Comité des droits économiques, sociaux et culturels de l'ONU a exhorté le Guatemala et l'Italie à mettre leurs politiques en matière de drogues en conformité avec les normes internationales relatives aux droits humains, notamment en ce qui concerne la décriminalisation de l'utilisation des drogues.
Le milieu militant a accueilli cette décision tout en exhortant le gouvernement à adopter une législation pour mettre fin à l'interdiction fédérale du cannabis et effacer les casiers judiciaires antérieurs.
Les militants se sont félicités de cette décision et ont exhorté le gouvernement à adopter une législation visant à mettre fin à l'interdiction fédérale du cannabis et à supprimer les dossiers antérieurs.
L'affaire et l'arrêt concernaient quatre enfants envoyés dans un programme d’orientation résidentiel obligatoire à la suite d'un test de dépistage de drogues effectué par l'école.