En devenant le 24e État américain à réguler légalement le cannabis, l'Ohio accentue la pression sur le gouvernement fédéral pour qu'il le déclassifie et le décriminalise.
La régulation du cannabis en Jamaïque doit changer de cap et de priorités : il ne s'agit plus de favoriser la cupidité des entreprises et de perpétuer les inégalités raciales, mais de donner la priorité à l'équité sociale et aux réparations.
Le Haut-Commissaire Volker Türk a encouragé davantage de pays à commencer à considérer l'usage de drogues comme une question de santé publique et de droits humains, notamment par l'adoption de la décriminalisation.
Quatre autres associations sont en cours d’obtention des licences opérationnelles pour fournir du cannabis à leurs membres, tout en cherchant à éviter la commercialisation.
La décision du gouvernement d'accorder au cannabis thérapeutique un statut ad hoc, plutôt qu'une légalisation complète, à la suite de résultats positifs pour les patients, soulève des inquiétudes quant à l'accès limité et au recours potentiel à des sources illégales, perpétuant ainsi la souffrance.
TNI retrace l'histoire et l'état actuel des efforts de la Bolivie pour mettre fin aux persécutions liées à la feuille de coca, comme le prévoient les traités internationaux en matière de contrôle des drogues.
Les problèmes de l'action policière, l'ambiguïté des politiques de régulation et le manque d'infrastructures pour évaluer les usages bénéfiques entravent la recherche sur les propriétés médicinales du cannabis.
WHRIN présentent leur récent travail sur le sujet très peu étudié de l'usage de drogues et de la maturation, du point de vue des femmes usagères de drogues.
Dans la majorité des pays d'Amérique latine, les infractions liées aux drogues sont le principal motif d'incarcération des femmes, ce qui a des effets dévastateurs sur leur santé mentale, physique et reproductive, ainsi que sur celle de leurs proches.
En analysant les effets de la régulation du cannabis, le gouvernement doit veiller à assurer l'équité envers les populations indigènes et les groupes racisés qui ont toujours été les perdants de la « guerre à la drogue ».
Une étude californienne récente bat en brèche le mythe selon lequel l'usage de drogues serait le principal moteur du sans-abrisme. Elle plaide pour la suppression de la criminalisation et de la stigmatisation de l'usage de drogues afin de faciliter l'accès à un logement sûr et stable pour les personnes en situation de sans-abrisme.