Les organisations de la société civile demandent à la directrice de l'ONUDC, Ghada Waly, d'appeler les États membres à modifier leurs politiques et pratiques en matière de drogues afin de respecter la Déclaration universelle des droits de l'homme, et de placer les droits humains au centre de toutes les dimensions du travail de l'ONUDC.
Les profils des femmes incarcérées sont remarquablement similaires : la plupart sont des mères, qui se retrouvent souvent seules à assumer la responsabilité de leur foyer, et qui ont été confrontées à des situations de vulnérabilité.
La « guerre à la drogue » alimente un système raciste qui concentre le pouvoir au service de la blanchité, perpétuant la violence et l'exclusion des communautés afrodescendantes.
La proposition devrait réguler l’attribution de licences pour les activités de production, de distribution et de vente au détail ; de même que les coopératives de cultivateurs et la culture individuelle destinée à un usage personnel.
Les risques liés aux drogues sont aggravés, et non réduits, par la répression et la criminalisation qui y sont associées, qui nuisent déjà aux femmes de plusieurs façons spécifiques et généralisées.
L'IDPC se joint à plus de 30 organisations de la société civile pour exhorter les organismes internationaux de contrôle des drogues à appeler le gouvernement saoudien à cesser immédiatement les exécutions pour des infractions liées aux drogues.
En Argentine, une proposition législative vise à réduire la récidive chez les femmes ayant été emprisonnées en s'attaquant aux difficultés handicapantes auxquelles elles sont confrontées dans leurs recherches d'un emploi et d'un logement stables en raison de la stigmatisation.
Bien que la loi 15 soit loin de la décriminalisation attendue, les autorités du Québec peuvent utiliser le pouvoir discrétionnaire y accordé aux forces de police pour mettre fin à l'approche répressive envers la possession de drogues.